Bouts-rimés - semaine du 28 mai au 3 juin

Voyelle(s) / cruelle(s)

Latent / éclatant

Étrange(s) / Ange(s)

Studieux / Radieux

Enfant / Pénitent

Belle(s) / Ombrelle(s)

Orange / Mélange

Yeux / Cieux

A vous, entrelacez les...

Invité

Reine, dans la danse des mots, que chantent tes voyelles
Qu'elles nous emportent loin des symphonies cruelles,
De ce monde où l'oubli semble bien déjà latent,
D'une vie passée éclairant nos coeurs d'un sourire éclatant.

Si nos souvenirs assis à tes côtés se révèlent pour peu étrange,
Nous avons su donner à tous ces instants nos yeux d'anges,
Comme des gosses si surpris nous restions studieux
Et sur nous se sont lever plus d'un bonheur radieux.

Reine, mon âme chantera à jamais les joies de l'enfant !
Devant toi, séduit jusqu'au limbic, je viens pénitent,
Qu' à ces couleurs magnifiques te rendant si belle,
Je m'en imprègnent, qu'elles me servent d'ombrelle !

Leurs lueurs illuminent ma peau d'une teinte orange
Cela me rend si heureux que notre destin se mélange,
Regardes moi, ne vois tu pas l'éclat de mes yeux !
Reine, c'est avec toi ,ma reine, que j'atteins les cieux.

Bravo Joelle... cela va être dur d'écrire derrière toi...

Phil cheers

Rêveries

Tandis que la physique, tu révises, studieux,
moi, j'écris tous mes maux de consonnes en voyelles,
me souvenant meurtrie, de nos moments radieux,
la vie qui nous sépare, se montre bien cruelle !

Grande incompréhension, tourmente mon cœur d'enfant,
me rappelant émue, presqu'heureuse, c'est étrange,
nos doux rêves enfuis ! Nous voici pénitents
d'avoir cru en la vie, car nous étions aux anges !

Pendant que tu travailles, mes pensées se mélangent,
la joie et la souffrance, j'étais alors si belle !
Je me vois dans tes bras, à l'heure d'un ciel orange
ou goûtant à tes lèvres, cachés par une ombrelle !

Tourmentée âprement par ce désir latent
de te rejoindre enfin, me perdre dans tes yeux,
oser braver le temps, un départ éclatant,
mon amour, vers ton port, nous deux sous d'autres cieux!

Trop fort! Je suis pantelant d'admiration...

Utopie...

Je suis ta voyelle
Un soupçon cruelle
Moment latent
En vertige éclatant
Images étranges
Douceur des anges,
Fantasmes orange
Où tout se mélange
Amours studieux
Sur nos corps radieux
Chassent en moi l'enfant
Qui s'est vu pénitent
L'harmonie est belle
A ton mat, je suis ombrelle
Nuage dans tes yeux
Là, je suis aux cieux !!

Libellule.

Superbe Libé ! Très joli poème, très doux et un brin coquin ! J'aime !!!!!

Invité

Salut c'est Jiji qui décidément prend goût à cet exercice.....c'est dire que les bouts rimés m'inspirent......enfin ces p'tits mots là....

Avant tout féliciter Marie et Libéllule..... j'ai tellement apprécier....bien j'me lance encore si Phil n'y voit d'inconvénient.....ben c'est la journée ! non ? et après j'vais travayé sûr promis juré......

Regardes les Cieux
Toi ma Belle
Du fond de ton coeur Studieux
Agites ton Ombrelle !

Entends l'Enfant
Ses esclaffes Radieux
Résonnent si Eclatant
Plissent tant ses Yeux !

La vie n'est pas si Cruelle
Existent toujours les Anges,
Chantonnant des Voyelles
Aux épices de l'Amour, les Mélange

Au désir, joie ne reste Latent
Colore les joues d'Orange !
Coeurs épris, sursaut de Pénitent,
A l'amour rien n'est étrange !

Comme c'est bon d'écrire.....bon je reviendrai pour les coms cette fois

Bisous , a ++

JiJI JOLILI :::biz1

Invité

oh la la mais quel imaginations mes poètes!!!
bravo a vous tous
je vais essayer de m'y mettre
bisousssssssssssssssssssssssssssss

Oh mais, les bouts ont été faciles à rimer pour vous.

Marie, Libelulle, Joëlle... bravo a vous trois.

Aucun homme n'a osé ?

mais ce n'est surement pas fini ?

Bises mesdames :::biz2

Phil

Puisque personne n'a osé continuer...

Devant toi je perds mes voyelles
Je t'en prie ne sois pas cruelle
Ne vois pas que l'esprit latent
Mais plutôt soleil éclatant
Dans mes yeux que tu trouves étranges
Tu verras homme doux, mon ange
J'apprends tes mots, je suis studieux
C'est ce qui me rend si radieux
Me laissant un sourire d'enfant
Mais je doute en vrai pénitent
Ma vie avec toi est si belle
Vivons libre, au feu les ombrelles
Vois au loin le ciel est orange
Dans lequel le bleu se mélange
Au plus profond de tes yeux
Pour moi c'est vrai, je suis aux cieux...

Bises de Phil :::biz1

joli Philou...!!!!
l'amour règne en maitre chez toi !!! c'est beau !!
:::biz1

Libellule.

Invité

que c'est beauuuuuuuuuuuuuuuuuuuu.... phil
un vrai regal
bisoussssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss
::bisou8

Bravo Joelle, Marie, Libellule et Philco. De beaux bouts-rimés.

La parole sans voyelle

Si je parle sans utiliser de voyelles
Même en mettant mon cerveau en mode studieux
Tu ne peux déchiffrer le sombre du radieux
C’est là toute ma difficulté bien cruelle.

Les mots sont pourtant là dans un état latent
Qui paraît aux palabreurs handicap étrange
Proche du souffle et du chuchotement d’un ange
Qui n’est que pour les entendeurs, bruit éclatant.

Ai-je le choix en utilisant cette ombrelle
Qui me cache le soleil bien haut dans les cieux
Me permettant de voir dans cet abri tes yeux
Mais camouflant mon moi dans l’ombre pas si belle.

Je ne suis au fond qu’une bien petite enfant
Qui rêve de la saveur douce de l’orange
Mais qui pour l’exprimer, trop souvent se mélange
C’est mon but, route parcourue en pénitent.