lipogrammes sans i

Inutile de mettre les points sur les i

Elle a des yeux d’agate et un nez retroussé,
Une bouche charnue, une gorge attrayante.
Alléché franchement, car n’étant pas fuyante,
L’éventuel galant se sent non repoussé.

Seul le jaloux blessé, à l’amour émoussé,
Rêve d’une vengeance, amère ou effrayante,
Car l’adultère rend sa femme larmoyante,
Reprochant chaque jour son dégoûtant passé.

Un jour sans alerter, la beauté se craquelle
Les yeux sont plus cernés, la peau, cette cruelle,
Perd sa belle souplesse et part le seul amant

Le désert est le lot des femmes trop gourmandes
De perles et bouquet et d’amour sur commande
Ont vendu pour du vent leur corps au plus offrant.

Oh, P...euchère, Bonne Mère !! J'allais presque dire un mot qui part avec Purée et nous laisse sur la faim !!!

:::conf

Il est vrai que, parfois, le temps fait des ravages ...

alfred5657 a écrit:: Oh, P...euchère, Bonne Mère !! J'allais presque dire un mot qui part avec Purée et nous laisse sur la faim !!!

Il est vrai que, parfois, le temps fait des ravages ...

Oh tu sais, dans le midi ce n'est pas une insulte puisqu'on le dit à tout bout de champ, même pour dire Oh bip que c'est beau !! Embarassed

Oh, p..ain con, que c'est bien vrai ça alors ... !!

:::mdr1

ah pu..ain je te le fais pas dire...
et même qu'à Marseille une catin c'est une poupée... Vrai !

Eh, m'étonne pas, peuchère, ils sont un peu fadas sur les rivages du Vieux Port !!

Sentes escaladant les monts et leurs arêtes,
Sombre voute touffue , aux arceaux verdoyants,
Soulèvent en mon cœur la cendre de mes quêtes
Quand je pense gommer, ces regrets ondoyants.

Tellement de nos pas sont gravés sur le roc,
Que je pense toujours en retrouver la trace,
Lorsque le goût d’aller recouvrer tout en bloc,
Mes lourds secrets d’enfant rompront leur carapace.

On se crée, en restant la tête hors de l’eau,
Un personnage fort et, personne que nous
N’a pu contempler l’or, chatoyant sur sa peau,
Quand viennent les ombres, de nos chers rendez-vous.

Ce fut mon protecteur, lors des longs jours de guerre,
Me berçant tendrement, sous la tente des draps.
Je veux, dans mon présent, lorsque bat le tonnerre,
Penser au compagnon me prenant dans ses bras

TITEFEE a écrit:: [center]Sentes escaladant les monts et leurs arêtes,
Sombre voute touffue , aux arceaux verdoyants,
Soulèvent en mon cœur la cendre de mes quêtes
Quand je pense gommer, ces regrets ondoyants.

Tellement de nos pas sont gravés sur le roc,
Que je pense toujours en retrouver la trace,
Lorsque le goût d’aller recouvrer tout en bloc,
Mes lourds secrets d’enfant rompront leur carapace.

On se crée, en restant la tête hors de l’eau,
Un personnage fort et, personne que nous
N’a pu contempler l’or, chatoyant sur sa peau,
Quand tombent les ombres, de nos chers rendez-vous.

Ce fut mon protecteur, lors des longs jours de guerre,
Me berçant tendrement, sous la tente des draps.
Je veux, dans mon présent, lorsque bat le tonnerre,
Penser au compagnon me prenant dans ses bras

toujours pas la manette aussi j'ai recopié avec la correction sur le quatrième vers du troisième quatrain

» Poème sans O et sans U
» Poème sans "U"..
» Poème sans E....
» lipogramme sans "o"
» Rêve récurrent ( sans la lettre o) (5)