Poème pour Virginie

(Et oui, Domi, moi aussi j'ai été victime d'une Virginie...!)




L'attente me devient insupportable,
Où es-tu, Virginie?
La douceur de tes traits, la couleur de tes yeux,
La courbe de tes lèvres ...
Tout m'appelle au désir de ton corps.
Pourquoi suis-je aussi fou?
Mon attirance pour toi ne connaît pas de limite,
Chaque nuit ton sourire me hante et me torture,
Comment vivre ce supplice?
Dans l'insouciance de tes quinze ans
Tu vis au travers d'un film où je ne suis qu'un figurant,
Indispensable dans la forme, mais dans le fond,
Ô combien futile.
Rêve limpide qui me fait croire au bonheur,
Qu'ai-je donc fait à Dieu pour souffrir ainsi?
Encore une fois je suis amant d'une illusion,
Je mets en toi tous les espoirs et tous les rêves,
Je te désigne idéale, parfaite, sublime.
Pourtant tu n'es pas une déesse,
Tu es faite de chair, de sang et de faiblesses,
Mais c'est surtout pour cela
Que j'ai tant envie de toi.


Eté 1986

oh belle surprise numéro 9 !
j'ai tant et temps écrit sur elle
ma Virginie fée de jardin
ma reine femme main dans la main
m'emporte déjà ciel ses ailes

très beau sur le plaisir de te lire
domi

 
Bonjour no. 9 !

Ah!
les femmes nous habitent pour toujours lorsque l'amour, le désir et la passion
nous habitent. Il y a des visions, des sourires et des odeurs qui nous hantent.

Merde!
C'est ça la vie!
La mémoire de ces femmes nous rends plus humain...

Tourloup!

Le faucon de mai dit Gwalchmai